Quand nous a été annoncée la sortie de Harry Potter and The Cursed Child , on en est un peu tombés de nos balais (ahah, je suis drôle). Quand on appris le temps qu’il nous faudrait attendre avant de pouvoir lire en français Harry Potter et l’Enfant Maudit , on a été à deux doigts (DEUX DOITGS) d’avadakedavrer. Du coup, n’ayant aucune patience, je me l’étais procuré en anglais, d’un coup de baguette magique. Et comme il est ENFIN disponible en français, c’est l’occasion de vous en parler.

Harry Potter et J.K. Rowling font partie de ma vie depuis un petit moment. Les livres, comme les films, sont pour moi des refuges magiques, dans lesquels j’aime me pelotonner dès que le moral est un peu bas. Alors vous vous doutez bien que l’annonce de la pièce de théâtre, du nouveau bouquin, toussa, toussa, pour moi, c’était plutôt sympa.

« Être Harry Potter n’a jamais été facile et ne l’est pas davantage depuis qu’il est un employé surmené du Ministère de la Magie, marié et père de trois enfants. Tandis que Harry se débat avec un passé qui refuse de le laisser en paix, son plus jeune fils, Albus, doit lutter avec le poids d’un héritage familial dont il n’a jamais voulu.  Le destin vient fusionner passé et présent. Père et fils se retrouvent face à une dure vérité : parfois, les ténèbres surviennent des endroits les plus inattendus. »

Harry Potter et l’Enfant Maudit : mon avis ultra rapide

Alors oui, on rencontre Albus, qu’on n’avait aperçu à la fin du septième tome, partant pour Poudlard. Et puis on fait également connaissance avec Scorpius, le fils de Draco. Et on retrouve Hermione, Harry, Ron… Pas d’inquiétudes, je ne vous spoilerai rien ! Commandé et dévoré dès réception, j’ai adoré me replonger dans l’univers d’Harry Potter. Alors peut-être que pour certains, ce n’est pas parfait, et on pourrait en discuter des heures, car effectivement : ce n’est pas parfait. Mais même si j’ai haussé le sourcil plus d’une fois, je pense pouvoir dire que l’histoire m’a plue. Le plaisir de pouvoir retourner dans l’univers d’Harry alors qu’on pensait que c’était fini n’a pas de prix ! Et puis franchement, argumenter jusqu’au bout de la nuit avec une pote Potterhead pour savoir ce qu’à voulu dire machin à ce moment précis où ce truc s’est produit, ça n’a pas de prix ! La Serdaigle que je suis vous le recommande donc (quand même) et sera ravie d’en discuter avec vous (peut-être pas jusqu’au bout de la nuit, hein, faut pas exagérer) !